dimanche 24 novembre 2019

Episode cévenol et crue de l'Hérault - 23 novembre 2019

Salut !

 

Ces derniers jours, les Cévennes ont été touchées par un épisode cévenol modéré (cumuls d'environ 200 à 250 mm sur le relief, ponctuellement plus). 

 

Les intensités de précipitations n'ayant jamais été fortes (pas de cumul horaire > 20 mm) il n'y a pas eu de crue catastrophique, mais étant donné la saturation des sols en cette fin d'automne (et la présence d'une petite couche de neige en altitude) les réactions hydrologiques ont tout de même été au rendez-vous avec des crues d'importance moyenne.

 

Je vous propose quelques photos de ces crues, dans la haute vallée de l'Hérault au pied du Mont Aigoual.

 

Première série à Valleraugue (30) où le pic de crue a atteint 2.41 mètres juste avant le lever du jour. Les photos sont réalisées juste après (le temps de laisser le jour se lever pour avoir suffisamment de lumière) avec une cote d'environ 2.25 m).

 

7h50 : vue sur le quai, qui reste encore assez largement à l'abri d'un débordement. Lors de la crue cataclysmique de septembre 1900, le cours d'eau était monté quasiment jusqu'au premier étage des maisons...


 

 

8h13 : l'Hérault occupe tout son lit moyen à la sortie du village.

 

 

 8h25 : le cours d'eau dans la traversée de Valleraugue.

 


 

8h30 : le débit est important, la pente et forte : on entend les gros galets et blocs s'entrechoquer dans le lit du fleuve.



 

8h55 : dans la vallée entre Valleraugue et Pont d'Hérault. Le cours d'eau, grossi par ses affluents et par de multiples ruissellements, commence à avoir une largeur respectable.

 

 

 

Place désormais à quelques images dans le secteur de Laroque (34) où la cote maximale a atteint 6.78 mètres.

 

 

11h04 : les habitants scrutent le fleuve, dans ce secteur sensible où il peut couper la route et rentrer dans les rez-de-chaussées. Le niveau est stabilisé, l'inquiétude s'estompe d'autant que la pluie a cessé et que le soleil commence à percer.

 

 

 

 

11h12 : dans les gorges le spectacle est impressionnant.

 

 

 

11h24 : toujours dans les gorges incisant le massif du Thaurac en arrivant à Saint-Bauzille-de-Putois. Les vagues sont impressionnantes même si la crue n'a rien d'extra-ordinaire.

 

 

 

 

Trois vidéos de ces crues :

La première : l'Hérault au niveau de Saint-André-de-Majencoules

La seconde : l'Hérault dans ses gorges vers Saint-Bauzille-de-Putois.

La troisième : le Rieutord (affluent de l'Hérault) au niveau de Sumène.





 

Voilà pour ce petit tour d'horizon, au final pas de gros dégâts dans le secteur et des pluies bienvenues après un printemps et un été marqués par une forte sécheresse.

 

A bientôt.

 

Vincent

jeudi 3 octobre 2019

Orages et moisson de foudre du 1er octobre 2019 dans le Gard

Salut !

 

La soirée du 1er octobre 2019 m'a offert une belle surprise orageuse au sein d'un automne décidément trop calme sur nos régions languedociennes. Vous allez voir que la capture de la foudre ne tient parfois à pas grand chose et qu'il faut une bonne dose de chance et de persévérance !

 

Les orages étaient prévus et ils ont été au rendez-vous. C'est toutefois sans grande conviction que je prenais la route en début de soirée : l'activité s'annonçait plutôt faible, noyée dans la masse et le balayage orageux très rapide.

 

Pour une fois je ne fonçais pas dans le tas, à savoir vers le piémont cévenol où les orages étaient déjà à l’œuvre dès la fin d'après-midi : je décidais de miser plutôt sur le Sud du Gard qui devait être touché plus tard dans la soirée. 

 

A la nuit tombée, le Nord de Nîmes était concerné mais rien de photographiable depuis les Costières où j'étais positionné : seuls de puissants flashs auxquels succédaient de lourds grondements lointains  trahissaient la présence de quelques puissants impacts dans la masse.


Rapidement j'étais enveloppé par la pluie, sans avoir pu réaliser la moindre image... Repositionné dans le secteur de Saint-Gilles, toujours sur les Costières, je commençaient à me dire que cette sortie allait être un énième fiasco, comme trop souvent cette année !

 

Je lançais toutefois des poses au cas ou... Quitte à être sur le terrain autant tenter le coup !

 

Vers 22h05 la pluie faiblissait pour quasiment cesser sur ma position quand tout d'un coup, sans aucun signe avant coureur, un impact bien net et bien lumineux surgit de nulle part tombait devant moi ! Pas de doute une jeune cellule était en train de s'activer sous mes yeux : un peu lointaine (entre Nîmes et Beaucaire) mais idéalement positionnée car sans pluie et sans nuages bas parasites entre la zone de foudroiement et moi.

 

22h08 : premier impact de foudre visible de la soirée. Pas loin d'être hors cadre mais bel et bien dans la boîte. Les lumières visibles à droite sont celles de Saint-Gilles.

 

 


22h09 : biiiim ! Quatre impacts simultanés (et même un cinquième hors cadre à gauche) éclairant un plafond nuageux magnifique ! En moins de deux minutes, la situation était passée d'orages très peu actifs à une situation de rêve pour la foudre.



 

22h10 : encore de superbes impacts de foudre ramifiés, bien nets dans l'air frais ! Les pointillés rouges correspondent à un avion venant de décoller de l'aéroport de Nîmes-Garons tout proche.

 



22h11 : le rythme des impacts n'est pas excessivement soutenu mais très régulier, environ 1 par minute. On distingue encore les lumières de l'avion qui poursuit son décollage.




22h12 : bouquet final avec encore des impacts simultanés.




La cellule se décalait ensuite rapidement sur les Bouches-du-Rhône avec encore beaucoup de foudre mais plus lointaine et davantage noyée dans les précipitations.

Quand je vous parlais de chance... Si cette cellule n'avait pas éclot à cet endroit (d'où j'avais une vue dégagée) et si je n'avais pas patienté jusqu'au dernier moment malgré l'absence d'éclairs vraiment visibles depuis 3 heures que j'étais sur le terrain je n'aurais ramené aucune image de ces orages...


Alors que là, en 5 mn de folie électrique j'ai pu capturer de très esthétiques impacts : assez inespéré sous cette dégradation orageuse somme toute très classique de début octobre.


En espérant quand même pouvoir assister à un véritable épisode méditerranéen d'ici la fin de l'automne !


Vincent.

samedi 14 septembre 2019

Orage du 31 août 2019 à Condrieu (Rhône)

Salut !


Pas de véritable récit comme habituellement aujourd'hui mais je souhaitais simplement vous partager cette belle capture d'un très puissant impact de foudre positif réalisée le 31 août 2019 depuis les contreforts du massif du Pilat sur les hauteurs de Condrieu (Rhône).


 

L'impact s'abat en rive gauche du Rhône (donc en Isère) juste en face de la ville de Condrieu.

De quoi patienter en attendant que l'automne languedocien daigne s'agiter...


Sinon cet été je suis allé faire un tour dans les déserts du Sud-Ouest des Etats-Unis entre Texas et Arizona en passant par le Nouveau-Mexique. Je vous montrerai quelques captures orageuses réalisées à cette occasion plus tard dans l'automne ou l'hiver.


A bientôt.


Vincent






dimanche 7 juillet 2019

Nuit d'orages au sommet de la Séranne (Hérault) - 6/7 juillet 2019

Salut !

 

La nuit dernière a été très orageuse sur les Cévennes. J'ai eu la chance de pouvoir observer ces orages depuis le sommet de la Séranne (environ 900 m d'alt), au-dessus de Ganges dans l'Hérault.

 

Même si la foudre n'a malheureusement pas été au rendez-vous, le spectacle et les ambiances valaient le détour. Je vous propose un petit récit en images de cette nuit sauvage.


J'arrive sur le sommet dès le milieu d'après-midi : la chaleur humide est écrasante mais les tentatives de convection (entre Larzac et Cévennes) n'aboutissent pas. Je patiente à l'ombre avec un peu de lecture.


En fin de journée, une poussée convective plus franche se développe sur la Lozère. Un puissant cumulonimbus va se mettre en place. Je suis loin mais le spectacle est magnifique avec les couleurs de la fin de journée.


21h43 : le sommet du cumulonimbus vire au rose au coucher de soleil. La vue est parfaite depuis mon nid d'aigle au-dessus des gorges de la Vis.



 

21h54 : l'orage est virulent. Le sommet pénétrant (à gauche) est là pour en témoigner. Les boursouflures de l'enclume sont également un indice de la sévérité de l'orage. J'espère un impact extranuageux mais il ne viendra pas... J'observe simplement de petites décharges latérales sortant du nuage mais n'entrant pas en contact avec le sol.

 

 

 

22h11 : l'orage se régénère par l'arrière avec de puissantes poussées convectives visibles à gauche de l'image. Toutefois son évacuation vers l'Ardèche et la vallée du Rhône est inéluctable. Il s'éloigne petit à petit.

 

 

La nuit tombe et le calme revient, simplement interrompu par les cris des rapaces nocturnes et des renards. La suite est prévue bien plus tardivement, je m'endors dans la voiture.

 

2h00 : je me réveille et ô surprise ! Je me retrouve enveloppé dans un banc de stratus : visibilité nulle ! Je regarde le radar qui reste désespérément vide sur le SO là où sont sensées naître les orages... Je me rendors d'un oeil.

 

30 minutes plus tard : je vois les étoiles au zénith (toutefois très troublées par l'atmosphère très humide) mais les vallées sont sous une mer de nuages ! Le stratus fini par remonter et m'enveloppe à nouveau. Les orages sont en train de naître sur le Tarn !


A nouveau un petit somme et au réveil les flashs sont visibles, l'orage progresse très vite sur l'Aveyron. Malheureusement je ne vois rien à cause de ces satanés nuages bas... Une légère trouée me laisse apercevoir furtivement une énorme enclume, hystériquement éclairée par d'incessantes décharges.

 

Je descends de 250 mètres d'altitude pour tenter d'échapper aux stratus mais c'est peine perdue : ils sont certes moins épais à 650 m d'altitude mais ils bouchent tout de même le paysage lointain. Je me résigne à attendre l'arrivée de l'orage en me disant qu'il va dissiper cette purée de pois. 

 

Un grondement quasi continu approche tandis que le ciel est aveuglant : la lumière des décharges électriques se diffuse dans les stratus et le ciel clignote d'une façon stroboscopique : ambiance surréaliste !!!

 

L'orage arrive enfin, sous la forme d'un front de rafales qui balaye les nuages bas en 1 mn chrono. Le paysage se dégage.

 


4h55 : une base surbaissée me survole tandis que la ville de Ganges réapparaît, 500 mètres plus bas en altitude. Seulement quelques gouttes sur ma position alors que la ville a essuyé un déluge.




4h57 : je suis à l'arrière de l'orage. Des décharges se laissent voir mais je n'ai pas les impacts au sol. Le paysage est illuminé en permanence avec plusieurs éclairs par seconde.





05h01 : toujours cette ambiance féérique. L'orage est très puissant, les poussées convectives bien nettes.




05h06 : toujours pas d'extranuageux à l'arrière de l'orage qui s'évacue plus franchement vers le Gard. Des grêlons de 4 cm tomberont sous cette cellule, dans le secteur de Pompignan et de Quissac notamment.




Je décide de remonter vers le sommet car une petite cellule est en train d'éclore plus au Sud-Ouest vers le Mont Saint-Baudille.


Je suis idéalement placé mais toujours pas de foudre ! C'est rageant !


5h38 : le jour se lève et le petit orage transite sous mes yeux, avec le Pic Saint-loup en arrière plan.




5h43 : malgré la beauté de cette convection isolée, je suis déçu que l'orage ne lâche pas un seul impact de foudre... Mais ça n'était pas une situation propice, il faudra encore patienter !




Il est désormais temps de redescendre dans la plaine, accompagné des lièvres qui profitent de la fraîcheur matinale.


Au final, malgré la frustration liée à l'absence de foudre visible, ce fut tout de même une sacrée expérience ! Cela faisait un moment que je n'avais pas passé une nuit entière dans la nature avec l'orage, et dans un cadre d'une aussi grande beauté.


Vivement les prochains !


A bientôt.


Vincent

samedi 6 juillet 2019

Orages caniculaires du 3 juillet 2019 dans le Gard

 

Salut !

 


Depuis plus de 10 jours le Languedoc est soumis à une intense canicule avec plusieurs records absolus de températures battus dont le nouveau record français qui s'établit désormais à 45.9°C à Gallargues-le-Montueux (Gard).


Ce mercredi 3 juillet 2019 la chaleur est encore intense avec environ 38°C à Nîmes, mais l'instabilité atmosphérique se mêle à la partie et laisse augurer des orages en fin de journée.

 

A 18h30 je prends la direction du Nord de Nîmes alors que le ciel se charge d'altocumulus castelanus et que les premiers bourgeonnements plus intenses démarrent. Voyant que la convection s'enclenche un peu plus franchement près des Cévennes je me dirige vers le Sud du bassin alésien où un petit orage ne tarde pas à éclore. Malheureusement il s'effondre tout aussi vite sans que je ne puisse réaliser la moindre photo...

 

Je m'aperçois alors que la petite convection qui surplombait Nîmes vers 18h00 a abouti à la constitution d'une véritable cellule orageuse. Je fais donc demi-tour : cap sur le Sud. 

 

Je décide d'aller m'installer au-dessus de Clarensac (à l'Ouest de Nîmes) où le relief offre une belle vue vers le Sud et le Sud-Ouest. Durant le trajet je vois que cet orage est bien actif, avec plusieurs impacts de foudre en air sec. 

 

Le rideau de précipitation semble bien constitué et les bases de l'orage sont élevées : typique de ces orages en masse d'air caniculaire dans la région et assez semblable aux orages des déserts du SO des Etats-Unis. C'est pour cela que j'aime surnommer ces orages "french monsoon" ou "Languedoc monsoon" par analogie à la "monsoon" américaine.

Très esthétique, mes orages préférés avec les monstrueux orages à propagation rétrograde ("orages en V") de l'automne !

 

Je ne tarde pas à installer mon matériel et à capturer les premières manifestations électriques. La cellule se déplace très lentement vers le Sud-Ouest et la foudre s'acharne à tomber au Nord des précipitations, c'est parfait vu mon placement, malheureusement la seule colline du coin me masque les points d'impact au sol. Voici quelques images de ces beaux coups de foudre longs et ramifiés.



20h31 : au premier plan la Vaunage et le village de Clarensac, au second plan le relief entre Langlade et Saint-Dionisy).

 



20h32 : autre impact dans le même secteur. Vous pouvez voir le rideau de pluie qui est bien plus au Sud de la zone de foudroiement.

 



20h42 : la foudre continue de s'acharner sur le même secteur, avec ici un superbe impact bifide.



Malheureusement la zone de gros foudroiement reste sur ce même secteur, derrière la colline, ce qui ne permet pas de voir les points d'impact. 


L'orage continue de glisser lentement vers le secteur de Lunel, je décide de zoomer sur le rideau de pluie qui semble s'incurver et matérialiser ainsi de fortes rafales descendantes ("pied de pluie" ou downburst).



20h56 : l'incurvation du rideau de pluie est bien visible à droite. La foudre est désormais plus éloignée et moins ramifiée.





20h59 : un impact tombe quasiment hors cadre et on constate nettement la rafale descendante humide.




L'orage tend à se régénérer légèrement par l'arrière ce qui fait que j'insiste à vouloir l'observer. Malheureusement la foudre ne se manifeste plus sur ce secteur.


Je constate assez vite que j'ai perdu de précieuses minutes à miser sur l'éclosion de nouvelles cellules autour de Nîmes : c'est le Nord de Montpellier et le secteur de Pic Saint-Loup qui est désormais sous un bombardement de foudre. Trop loin pour moi !

Je décide tout de même de m'approcher mais je n'ai pas envie de courir derrière l'orage car je suis trop en retard. Je finis par bifurquer vers le Nord et le secteur de Lédignan en misant sur l'éclosion d'autres cellules.


Ça ne sera malheureusement pas le cas mais un renforcement de l'activité foudre aura tout de même lieu dans le secteur de Quissac. Là encore le relief ne joue pas en ma faveur et je suis encore trop éloigné à mon goût mais je profite tout de même du spectacle, dans une agréable chaleur et avec le chant des cigales en accompagnement.

 


23h00 : 4 impacts simultanés qui s'abattent au loin, vers le massif du bois de Paris entre Quissac et Sommières.




L'amas orageux s'étale ensuite rapidement avec 3 ou 4 gros impacts positifs bien puissants pour clôturer le spectacle.



23h16 : dernière manifestation orageuse de cette belle soirée !




Au final je reste un peu sur ma faim car le potentiel était là pour réaliser de bien meilleures images. Mais le développement anarchique des orages et ma stratégie de positionnement auront fait que je n'aurais jamais été au plus près de la foudre. 


Ça sera pour une prochaine fois ! Qui sait, cette nuit peut-etre ?


A bientôt.


Vincent

lundi 17 juin 2019

Violent orage de grêle du 15 juin 2019 en Lozère

Salut !

 

La grêle a fait la une des journaux ces derniers jours, notamment dans la Drôme, mais la Lozère n'a pas été en reste.

Je vous propose de revivre le puissant orage de grêle qui a tangenté Mende ce 15 juin 2019. 

Si la ville a été épargnée par la grêle, il n'en a pas été de même dans le secteur du massif de la Boulaine qui a connu des chutes localement destructrices (grêlons de 4 cm voire davantage).

 

Les 6 images qui suivent montrent l'arrivée de l'orage sur Mende, la séquence s'étale sur environ 10 mn, entre 12h54 pour la première photo et 13h04 pour la dernière.

 

L'orage approche et l'horizon Ouest / Nord-Ouest prend une allure des plus menaçante




Les stratus issus du précédent orage se font aspirer

 



La teinte "bleu-vert" du ciel ne laisse que peu de doute quant au potentiel grêligène de l'orage



Les précipitations commencent à faire disparaître le paysage tandis que le vent se lève franchement




Les bases surbaissées du "monstre" survolent la ville




Les flèches de la cathédrale sous la menace




Dernière image avant d'être englouti dans le déluge




Deux heures après l'orage je décide de me rendre dans le massif de la Boulaine et me rends compte de l'importance de la chute de grêle !


Des spécimens de 3-4 cm (voire un peu plus) sont encore bien présent au sol dans le secteur du village de Servières notamment.




Dans la forêt, le spectacle est étrange, avec un tapis blanc rappelant l'hiver et de légères nappes de brouillards provoquées par le contraste en la grêle recouvrant le sol et les rayons du soleil qui est désormais de retour.





Au final cet orage aura provoqué des dégâts (carrosseries abîmées, velux cassés, végétation hachée) dans tout ce secteur compris entre la vallée du Lot et du Coulagnet. Un comble quand on sait que la saison orageuse 2019 a vraiment tardé à se mettre en place avec un gros déficit d'orages depuis avril.


A bientôt.


Vincent Lhermet